Constatation immobile Mes sombres vallées caches les esprits déchuts De mes nombreuses batailles, du doux calme Qui s'en dégage. S'engager et être battu Après qu'on n'accepte pas mes quelques larmes. Au centre, les tambours battent a leurs envies Des ritmes, comme les pluie sur un pauvre noyer. Heureusement qu'il peut encore penser aux amis Qui ont mordu la pomme, pour mieux siffler. Les berges rigolent de leurs quelques moutons les enfermes dans l enclôt, et attende leurs consentement Oublie leurs bien être, oh oui oublions Car ça serai bien un avancement! Tristement rémunèré par le malheur abiant Respirant par la chute des autres Le regard fixe, tout semple enviant De ce qu'il y a au dessus, pas chez les nôtres. Je matriste de jour en jour, je lutte Devant les rideaux qui reste ouvert Alors que les comédien chutes un a un Jusqu'à se taire, jusqu'à nous taire.