LES PIQÛRES DU CONSCIENT En chantant sur les rues de la vie, Les grands élephants oublient Leur instinct maternel. Ils commencent s’evanouir, à chaque photographie prise d’un œil objectif, dans le studio ermétique du peintre qui porte ses grandes moustaches. Le sens discret de leur chemin reste un mystère, Comme la souplesse des jambes d’une balerine. Au coin de mes incertitudes Je suis obligé de dire „oui” face au „non”, De faire de mon conscient une grande Tour Eiffel, Au bord d’un fleuve d’encre.