La rosé perlai sur les feuilles du saule pleureur, pour mieux admirer ce spectacle, je recula d'un pas. Il était magnifique. Les feuilles étaient penchée vers le bas reluisantes de petite gouttes d'eau. Je ferma les yeux pour entendre la rivière à une toise (cette mesure à été utiliser dans les années 1700 pour désigner 6 pied ou 1.949 mètres.) de moi. J'approcha de celle-ci pour m'y laver le visage. Un coup agenouiller, je pencha la tête au dessus de l'eau pour y voir mon reflet: une jeune fille de dix-sept ans muni de yeux rouge et d'une chevelure tombant à la cheville; eux aussi également rouge. Eh oui, pas blond, pas brun, pas noir: rouge. Un rouge vif signifiant la colère et l'horreur. Je m'aspergea d'eau puis je sorti Mara -mon petit chat- de mon sac. Il me regarda, il miaula, il s'abreva et après nous étions près à une autre longue journée de marche pour rejoindre la ville du roi, je la traverserai en toute vitesse et ensuite nous arriverions à destination: le nord. A chaque pas les feuilles morte craquaient sous mes bottines. J'aime marché. Si je serais une fée, je n'utiliserais pas beaucoup mais ailes. marcher est une façon pour moi de me sentir libre. pour certain marcher prend beaucoup trop d'énergie et de temps; mais moi puisque j'ai la vie éternelle j'ai tout mon temps. Après neuf heures de marche, j'établis le campement à quelques minutes du village. Demain, je referai mais provisions de pain, de fromage et de pomme pour déguerpire le plus vite possible. Je me réveilla l'aube, profitant de mon avantage, j'enfila mon long manteau noir pour cacher mes yeux et mes cheveux; sinon ils me prendraient pour un démon. Ensuite, je mis dans mon sac que le nécessaire: une pomme, mon poignard, ma boussole, ma robe verte et blanche et en fin : Mara. je parcourue quelques toise dans la fôret puos enfin j'entra dans le village en attirant le moins de regard possible. Je me promena trois heure en repensant à mon enfance: ma mère morte en me donnant vie et mon père disparut dans le grand nord. C'est pour sa que je me rendai la-bas; pour retrouvé mon père disparu depuis mes neufs ans. Lorsque je me décida enfin la rue était bondé de personnes. Première étape: l'approvisionnement. Un petit marché de plusieurs commerces deumerai au coin de la rue. Entre autre un petit présentoir de pain. Je pris une miche de pain pressé de repartire, je fis tomber un tonneau plein de farine; ce qui fesa un bruit fort et dur. Je reparti en courant poussant toute la foule sur mon passage. Je couru le plus vite possible, mais aparement je n'allais pas assez rapidement car quelques secondes après je me fis attraper la taille par un garde royale. -Petite voleuse! Tu pensait t'en sortir indemne n'est ce pas? Me dit-il. Je ne répondit rien en retour de peur qu'il voit mes yeux ou mes cheveux. -Eh bien! Une petite arrogante en plus! Il me donna une gifle, ce qui fesa tomber mon capuchon. Tout le monde qui avait assister à cette scène sursautèrent. Certain crièrent, d'autre coururent dans le sens inverse du garde et moi. J'essayas en vain de me dégager de l'étreinte du garde mais celui ci ne bougeât pas d'un point. (Mesure pour désigner un millimètre.) -Allez avertir le roi. Dit-il a ses soldats. Je me décidât enfin à parler: -Vous n'avez pas honte de faire ça? Dis-je la rage pleine dans ma voie. -de quoi parlez-vous? Me répondit-il m'éfiant. -ma taille. Nous sommes en 1700, ce geste est déplacé. Le garde rougit jusqu'au oreilles. Reprenant son sang froid il répondit que c'était par mesure de sécurité. À ce moment même le roi arriva suivit de près par le prince et la reine. Le garde s'inclina accompagner ausitôt par les villageois. Moi par contre je ne m'inclina pas. Le roi aucha la tête pour faire signe au garde de parler. -Mon roi, cette démone à voler un pain et elle a fait preuve d'arrogance; autant à vous qu'à moi. Un miaulement ce fit entendre. Mara. Le roi tourna la tête vers moi: -On dirais bien ce bruit viens de ton sac, me dit-it, ouvre le. -non. Mara ne mourera pas a cause de moi. C'était le seul être chers a mes yeux qui me restai. Le roi devient plus dure. -Ouvre le. -Jamais. -Garde ouvrez son sac. Le garde à côté de moi dévoila sa véritable nature: un vampire. Réajissant plus vite que lui j'ouvrit mon sac. Je sortit Mara, ensuite je lui chuchota quelques chose à l'oreille et il parti en courant vers l'ouest. Le garde-vampire morda sur un de mes biceps. j'échappa un long cri de douleurs et puis le roi me regarda et il me dit: -La sentence pour avoir désobéit au roi et d'avoir voler un pain sera la mort. Rendu au château je me fis enfermé dans un cachot noir et poussièreux regorgeant d'os. Je m'étendais sur une des paillasse en attendant mon repas. Lorsque le soleil fut au zénith le messager du roi arriva tremblant devant moi pour m'annoncer la date l'exécution. -Bon-bon-bonjour... Madame... Vo..vo..vo.. Gloup... Votre exécu...cution aura..hum-hum lieu...appprès Demain à..à...a trois heu-heu..heu-re. Ne tenant pas compte de ses tremblement, je continua: -Et mon repas? J'ai faim moi. Je suis une humaine, pas un rat. -l...es p..p..risonni..ers n'ont..n'ont pa..pa..pa..pas d-d-d-d-e rep..p...pas. -Ah.. D'accord. Répondis-je un peu déçu. Dès que le messager fut parti je regarda les squelette étendu au sol. Ils étaient morts de faim. Je tourna mon regard vers le mur; il y avait plein de nom graver à l'aide d'une pierre. Grava, Jérôme, derela,André, Émero... Je décida de faire de même. Avec un Galet j'écrivas mon nom; le seul mot que je sais noter. Le R et ensuite le U, leB, le I et finalement le S. Ons voyaient maintenant le nom RUBIS écrit sur le mur. Au beau milieu de la nuit, je me réveilla suite à un grincement affreux venant de l'autre bout de la cellule alias: la porte. Curieuse je jeta un coup d'œil rapide. Une ombre logeait en face de la serrure. Je me rapprocha un peu. Le prince étais la devant moi avec le trousso de clé a la main droite et une assiette de saumon a la gauche. -Que faite vous ici? dis-je confuse. -Je suis venu vous donnez à manger et vous annoncé que mon père décideras demain au souper si vous méritez la mort. Vous serez vêtie et coiffer comme une reine, et vous dinerez avec nous. Cette nouvelle me laissa sans voix. Comme un automate je m'empara du plateau plein à rat bord. Je pris une première bouché, il était délicieux; le meilleur que je n'ai jamais mangé. C'est sûre; nous sommes au palai du roi et de la reine, pensais-je. Ma blessure au bras me fit souffrir lorsque je redonnat le plateau à Damon. Il s'approcha de moi tranquillement pour observer l'ouverture de ma robe juste en bas de mon épaule. Je le scruta juste assez de temps pour remarquer ses yeux bleu nuit et ses cheveux noir jaï caché par sa cape. Une fraction de seconde plus tard, je le repoussa d'un coup sec. - Que faite vous? Dis-je fachée. - Je suis désolé. Je... me demandai de quel clan étiez vous. Vous n'aite pas petite donc pas une naine, pas non plus une vampire même si vous avez une morsure de Théodore notre garde, et puis le seule clans que je vois serait les elfes mais ils ont disparu depuis 80 ans. Je le regarda profondément. - Votre père est sur le point de tuer un des sept derniers elfes qui reste. Dis-je d'un air grave. Seule la lueur de la bougie éclairaient nos visage. Sans un mots il sorti de la pièce me laissant seule dans l'obscurité incomplète. Je me réveilla tard dans la matinée. Je repensa à la conversation de Damon et moi hier soir. Je suis une elfe, se collier que je porte au cou le démontre mieux que personne. Une moitié d'étoile forgé en platine grise, signifie le clans des elfes. Pour les nains se sont un quartz rose en forme ovale, pour les vampires se sont un quart de lune en grenat, les sorcières eux elles ont du diamant noir de forme biscornue, les dragonniers ont hériter de plusieurs petits bout de spessartite collé ensemble, les humains eux pas trop interressé par les pierre et le métal ont choisi une petite pièce de zinc rond et plat avec une colombe gravé dessus et finalement; les fée d'une grâce exceptionnel on choisi la pierre de turquoise en fleur fanée.