Chair De Poule Chapitre 6 Je pars à toute vitesse dans la cour arrière. -Qu'est-ce qui voulait dire, Léo? Demandais-je -Tu parles du visage dans le miroir que Léo parlait? -Oui. Confirmais-je en rentrant dans ma petite cabane en bois dans les arbres Camille me suivit. -Aide-moi, Vincent. Je lui ai tendu la main pour l'aider. Après avoir grimpée dans la cabane, elle s'exclama : -J'en ai aucune idée. Jamais entendue parlé de çà. Soudain, j'ai eu une idée. -Rejoins moi ce soir, chez moi, à 20h. Dis-je Ce soir là, Camille et moi étions dans ma chambre. -Camille, suis-moi. -D'accord. Je me dirige vers ma salle de bain. -Places-toi devant le miroir. -Pourquoi? -Vas-y! -Oui, oui, d'accord. Elle se plaça devant le miroir. -Camille, vois-tu quelque chose? -Eh bien, je vois... -Aller! Dis-le! Qu'est-ce que tu vois?

Chair De Poule Chapitre 5 Je sors dehors en regardant par terre. -Qu'est-ce que tu ne m'as pas dis? J'étais impatient de savoir la réponse. -Eh bien, voilà. Mes parents sont déménagé ici, à Trois-Pistoles. Deux rues plus loin de la tienne. -Super! C'est une super nouvelle, non? -Oui. Mais j'ai repensée à cette été et je me souviens de Léo. -Ah oui?! En quoi ça peut changer? Camille me regarda dans les yeux. -Il nous avait fait une menace. -Oui, c'est vrai. Quelle était cette menace, déjà? Camille s'assied par terre. -Il nous avait dit qu'il changer notre vie à tout jamais, s'il me revoyait. -Mais non... il ne peut pas faire çà, voyons. Ne le croit pas. Ce n'ai qu'un idiot. Un claquement de main sarcastique se fît entendre. Puis Léo apparut derrière les haies. -Bravo, bravo. S'exclame Léo toujours en claquant ses mains. Tu me traite d'idiot? Toi, sale petit trouillard... va te cacher! Camille se leva d'un bond et s'approcha de Léo. Elle était à moins d'un mètre de lui. Sur la pointe de ses orteils, elle mît son doigt sur sa poitrine. -Toi, tu le traite encore une fois de trouillard, tu... -Tu vas faire quoi, hein? Ah! Ah! Petite peste... Je prend rapidement Camille par la main pour l'éloigner de Léo. -Camille, qu'est-ce que tu fais là? Chuchotais-je -Eh bien j'essaye de faire comprendre à Léo le Barbare qu'il devait arrêté de te traiter de trouillard. Dis t'elle à haute vois, exprès pour que Léo l'entende. Deux petites minutes s'écoula, puis soudain Léo s'écria : -Vous connaissez l'histoire du visage dans le miroir? Camille et moi se regardons, intrigués. -Non. Léo s'approcha de moi et pris mon collet avec son poing. -Tant mieux, si tu ne connais pas cette histoire. Je ne t'en dirai pas plus. Léo me laissa tomber par terre, puis rentra chez lui.

Chair De Poule Chapitre 4 -Vincent, ça va? C'était la voix de mon père. J'ouvris les yeux, surpris d'être dans la maison, allongé sur mon canapé. -Pourquoi suis-je ici? Qu'est-ce qui s'est passé? Je remarque Camille, ma mère et mon père, l'air inquiets, autour de moi. Je lève ma tête, mais j'ai trop mal. -Ouch! J'ai mal à la tête. Camille me répondit : -Vincent, tu es tombé dans la rue il y a 20 minutes. -Quoi? Je suis tombé?! Pourquoi çà? -Tu t'es enfargé dans une craque provenant du trottoir. Tu ne t'en ai même pas rendu compte, puis tu as tombé. Tu t'es cogné la tête contre l'asphalte. -Étrange. Ma mère se leva : -Je vais aller chercher de la glace. Ce soir là, j'ai rêvé que j'étais aussi grand et costaud que Léo. Maintenant, il avait peur de moi. Le téléphone sonna, j'allais répondre. C'était Camille. -Vincent, as-tu encore mal à la tête? -Oui, un peu. -Dommage... Je voulais aller au parc, avec toi. -Je peux bien. -Super! Je passe chez toi. Ça fait déjà 20 minutes, et Camille n'ai toujours pas arrivée. Pourtant, elle est sur la rue voisine. La sonnette de la maison sonne. Je vais répondre. -Camille, enfin! -Bah, ce n'était pas si long, non? Dit-elle, étonnée -Oui, c'était long. Cette été, ça te prenait 10 minutes. Aujourd'hui, ça a été 25 minutes! Ton oncle habite sur la rue voisine, donc ce n'ai pas long. -Oh, je ne te l'ai pas encore dis. -Dit quoi? -

Chair De Poule Chapitre 3 Je me lève d'un bond pour voir qui est-ce qui sifflait mon nom. Apeuré, je vais voir derrière ma maison en brique rouge. -Bouh! Je sursaute puis je tombe par terre. -Ca... Camille? C'était toi? M'exclamais-je -Ah! Ah! Tu as encore eu peur! Tu es peureux, Vincent! Camille est une super amie. Je l'ai connu l'été passé, tant dis qu'elle passait l'été chez son oncle. -Qu'est-ce que tu fais là? Dis-je, l'air surpris -Tu n'es pas content, que je sois là? Demande t'elle -Oui, oui. Bien sûr. -Super, alors! Elle donne une poussé sur mon ballon de FootBall. -Vincent, veux-tu jouer? -Désolé, mais j'ai quelque chose de plus important à faire. -Dis donc, tu n'es pas dans ton assiette, aujourd'hui. Elle me tend sa main pour m'aider à me relever. -Merci. Dis-je -Qu'est-ce que tu as de plus important à faire? -C'est Léo. Camille me regarda dans les yeux, se demandant qui c'était. -C'est qui, Léo? -Tu ne t'en rappelle pas, cette été, d'un gars costaud et grand? -Non. Pourquoi je m'en rappellerais, si je ne l'ai jamais vue? Je marche en direction de la rue, étonné qu'elle ne s'en souvienne pas. -Vincent, qu'est-ce que tu fais? Attention!! Crie t'elle

Chair De Poule Chapitre 2 -Tu as encore la trouille, espèce de petit trouillard. Me chuchote Léo Je vois mon père arriver. Il s'exclame donc : -Ah! Salut fiston. Tu es avec tes amis? C'est super çà, non? Pourquoi es-tu par terre? Ça va? -Ah là là! Tu en poses, toi, des questions, papa! Léo s'exclame : -Oui, monsieur Duchaîne. Vincent est tombé par terre, donc j'ai traversé la rue pour venir l'aider. -Ah, merci beaucoup, Léo! Tu es un super ami pour Vincent. Vincent, remercie Léo de t'avoir aidé en tant qu'ami. -Non. Il n'en n'ai pas question. Criai-je avant de me relever et de secouer mon chandail rouge rayé -Fiston, il va falloir qu'on parle sérieusement à la maison, si tu ne veux pas le remercier. -Bon... Merci. Tu es un très bon ami, je te revaudrais çà. Dis-je sarcastiquement -Désolé, Léo, dit mon père. Vincent n'est pas très poli. Merci encore! Mon père et moi se dirigeons vers la maison. Je me retourne pour voir s'ils ne me suivent pas. Je remarque Léo me faire un regard menaçant. «Je déteste Léo» Pensais-je Arrivés à la maison, j'avoue à mon père que j'ai un peu mal au dos à cause que je suis tombé. -Tu peux rentrer, moi je vais plutôt aller m'accoter sur le tronc d'arbre. -D'accord! Je t'appelle pour souper. Je m'accote lentement sur le tronc quand j'entend, dans un sifflement de vent, soudainement : - Vinceeeeent Duuuchaîne! -Quoi?! Maman?! Qui est-ce qui parle?!